Folk organique, blues poétique, mélodies lunaires ciselées avec l'amour du mot.
Focus : Art & Vie 1504-5 • Festival FrancoFaune • L'Estival • Pause Guitare • Nuits Botanique • Théâtre 140 • La Cigale • Les Trois Baudets • FrancoFête en Acadie…
Folk organique, blues poétique, mélodies lunaires ciselées avec l'amour du mot, Ivan Tirtiaux caresse, martèle, percute sa guitare et délivre des textes véraces et pénétrants.
Sa musique se situe quelque part entre le blues tendre de Dick Annegarn, les ritournelles désenchantées de Nick Drake et l'eurythmie chaloupée de Chico Buarque.
Des chansons qui célèbrent le hasard, le cours de la vie et les nombreux déboîtements du destin. On y parle de voyages, de cailloux, de femmes, de rosiers, de désastres, d'océans…
Des textes qui ont traversé la Francophonie (L'Estival de Saint-Germain-en-Laye, Pause Guitare, Nuits Botanique, Théâtre 140, La Cigale, Les Trois Baudets, FrancoFête en Acadie…).
Après • L’Envol • son premier album solo très remarqué, il revient avec • L’Oasis • un album lumineux, intemporel et traversé de fulgurances, paru en mai 2019 sur le label Le Furieux.
Sur scène en formule trio (sublimée lors du parcours FrancoFaune 2018) aux côtés de Mathieu Verkaeren (contrebasse) et Nyllo Canela (percussions) mais aussi en quintet avec Raphaël Dumas (mandoline, banjo) et Wilfried Manzanza (batterie).
Jongleur tropicaliste, Ivan Tirtiaux pousse son second album,
L’Oasis, dans d’impressionnantes sensations électrico-organiques.
Voire florales.
Le Vif
En état de grâce, l'artiste bruxellois balade sa poésie sur les cordes
d'une guitare acoustique. En français dans le texte, son nouvel album entrevoit
les légendes de la musique brésilienne à l'aune d'un titre providentiel :
L'Oasis est bon, très bon.
Larsen